Avec Dakota Fanning, Teri Hatcher, Jennifer Saunders...
Film Américain,
Genre : Entre rêve et réalité
Durée : 1h40
Coraline
Jones est une fille intrépide et douée d'une curiosité sans limites.
Ses parents, qui ont tout juste emménagé avec elle dans une étrange
maison, n'ont guère de temps à lui consacrer. Pour tromper son ennui,
Coralien décide de jouer les exploratrices. Ouvrant une porte condamnée,
elle pénètre dans un appartement identique au sien...mais où tout est
différent. Dans cet Autre Monde, chaque chose lui paraît plus belle,
plus colorée et plus attrayante. Son Autre Mère est pleinement
disponible, son Autre Père prend la peine de lui préparer des plats
exquis, et même le Chat, si hautain dans la Vraie vie, daigne
s'entretenir avec elle. Coraline est bien tentée d'élire domicile dans
ce Monde merveilleux, qui répond à toutes ses attentes. Mais le rêve va
vite tourner au cauchemar. Prisonnière de l'Autre Mère, Coraline va
devoir déployer des trésors de bravoure, d'imagination et de tenacité
pour rentrer chez elle et sauver sa Vraie famille...
Critique de Kaal :
Un
film d'animation de grande beauté ! Henry Selick a le chic
d'émmerveiller les enfants comme les plus grands. Des images à couper le
souffle et d'une justesse rare avec ce type d'animation. L'histoire en
elle-même n'est pas extraordinaire mais marque grâce à la profondeur des
personnages, principaux et secondaires (on aime découvrir la vie et les
protagonistes de l'étrange maison et on en veut toujours plus !).
Cependant quelques traits de Coraline peuvent être agacant, mais son
personnage est fait ainsi. Bref, on rit, on frissonne, on prend du
plaisir, un film à voir !
Critique de Roxy :
Ce
film, entièrement fait à la main, est d'une précision époustouflante!
Un mélange de rêve, de cauchemar et de réalité (ce qui avait déjà fait
son effet par le passé).
Au vu de ses deux derniers films d'animation (L'étrange noël de M. Jack, James & la pêche géante),
on ne peu s'empêcher d'associer Selick à Burton puisque ce dernier fu
son scénariste. On notera également la ressemblance frappante du style
entre ces deux films et celui réalisé par Burton : Les noces funèbres.
Avec Coraline,
Selick se démarque et ça fonctionne pour notre plus grand bonheur!
L'humour est là, l'effroi et la sensibilité aussi, bref un sacré
cocktail qui ne manque pas d'imagination et qui captivera autant les
petits que les grands !
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