samedi 26 janvier 2013

Django Unchained

Réalisé par : Quentin Tarantino

Avec : Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo DiCaprio, Samuel L. Jackson

Nationalité : américaine

Genre : A nigger on a horse !

Durée : 2h44









Interdit aux moins de 12 ans

Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie… 







Critique d'oldspider



Aaaaaaaaah enfin ! Bordel trois ans d'attente insoutenable pour le dernier Tarantino. C'est avec une excitation certaine que j'ai finalement pu découvrir ce western diablement inventif. Autant le dire tout de suite, Django Unchained est une réussite totale. Le film représente parfaitement bien le parti-pris esthétique et scénaristique du réalisateur. Le cinéaste n'a cessé d'expérimenter durant toute ta carrière et Django ne fait pas exception à la règle. Mais rentrons plus en détails si vous le voulez bien dans le film.

Je le disais précédemment, Tarantino n'a cessé d'expérimenter durant sa carrière, cela est plus que vrai dans la mise en scène. En effet, cette dernière se révèle être d'une inventivité fantastique et, chose plus rare chez lui, d'une grande émotion. Je pense notamment aux scènes de flash-back expliquant en parti le passé de Django. Toute la rage, la colère et la tristesse sont peintes dans ces scènes où l'on voit la femme du héros fouettée devant ses yeux. Ces scènes sont d'une couleur et d'une lumière très spéciales dans les tons pastels décolorés. C'est étrange mais ça fonctionne très bien, d'autant plus que ces flash-back sont peu nombreux. Bien sûr, on retrouve la réalisation traditionnelle Tarantinesque si vous me permettez l'expression lors de scènes de fusillades absolument jouissives et sanglantes rappelant Kill Bill ou encore Inglorious Basterds. Tout est dans la surenchère : le sang gicle de partout, les membres volent … C'est ça qu'on aime car ça colle totalement à l'esprit du réalisateur et aussi du film.

Les dialogues sont là encore dans la plus pure tradition de ses anciens films. On a droit à de longs dialogues paraissant ne pas avoir de réelle finalité au début mais qui prennent touts leurs sens à la fin et souvent de manière humoristique. Je pense par exemple à la séquence ou le Dr Shultz explique à Django ce qu'il attend de lui. Les deux protagonistes se retrouvent encerclés par moult carabines braqués sur eux. Ils s'en sortiront finalement à coup d'un long monologue humoristique. Nous nous attentions à une grosse fusillade mais Tarantino nous a lancé sur une fausse piste.
Cela me donne l'occasion de parler des acteurs qui sont tous très bons les uns que les autres. J'avais un peu de crainte concernant Jamie Foxx car j'avais du mal à l'imaginer dans un tel rôle et force est de constater qu'il s'en sort très bien. La première force du personnage est qu'il est attachant. On se prend d'amitié pour cet homme voulant sauver sa bien aimée envers et contre tous. Pour Leonardo DiCaprio c'est également du tout bon. On le découvre ici dans un registre très surprenant. Calvin Candle est un vrai salopard. En plus d'être un négrier, il est également amateur de combats à mort de noirs. Faut dire qu'on est vraiment soulagé lors de son trépas. On l'attendait au tournant, Christoph Waltz est absolument remarquable dans son rôle de chasseur de primes allemand. Toute sa classe et son sens du dialogue crèvent littéralement l'écran. Que c'est dur de se dire qu'il a joué un nazi sous le même cinéaste. Un mot également sur Samuel L. Jackson qui est parfait dans son rôle de majordome raciste et vendu.
Mais que serait un Tarantino sans sa musique ? A vrai dire pas grand chose tant cette dernière a encore une fois été choisie aussi judicieusement. La musique parvient même à inclure du rap. Avouez qu'entendre du rap peut paraître surprenant ! Mais pas ici, ça passe, ça colle très bien à l'action. C'est du bonheur musicale.

Ai-je été assez clair ou dois-je rappeler dans ma conclusion que le dernier cru Tarantino est à consommer sans modération ? Sérieusement, c'est probablement son meilleur film. Il frôle la perfection absolue. Ce qui change pour ce film c'est qu'il va non seulement plaire aux fans du cinéastes mais aussi à ceux qui sont allergiques à son cinéma. Je le dis en toute bonne foi et sérieusement. Je suis persuadé que le film peut être apprécié par tous. C'est donc avec une satisfaction pleine que je recommande grandement cette œuvre. 





Critique de Kaal :

Le voilà enfin ce nouveau petit cadeau de Quentin Tarantino et on peut dire qu'il nous a pas refilé de la merde. Je vais pas être aussi élogieux que mon collègue car, même si j'ai beaucoup aimé le film quelques points m'ont franchement déplu. Des points faibles qui ne ressemblent pas à QT. Django Unchained est en effet, le film le plus "tout public" de sa filmographie et qui apparaît moins comme un délire personnel et jouissif comme Pulp Fiction ou dernièrement Inglourious Basterds. Mais bon, je suis pas là pour comparer. Je vais m'attaquer qu'à ce métrage. 

Django Unchained est donc le premier western réalisé par Tarantino (j'insiste là dessus car il a déjà produit et joué dans l'excellent film japonais Sukiyaki Western Django que j'ai déjà chroniqué ultérieurement) et celui-ci s'amuse avec les codes qui font le genre le plus apprécié aux States. Alors vas-y que ça tire dans tous les sens, qu'il y a du rap sur fond de baston flingue à la pogne, qu'il y a des beaux salopards bons pour la potence made in Docteur Shultz. Il manque juste les duels avec les fameux gros plans sur fond d'Ennio Morricone, mais bon, QT n'allait pas non plus tout copier. Il veut y mettre sa sauce, et la sienne est plutôt à base d'hémoglobine qui éclabousse par litres comme de l'acné éclatée sur le miroir familial par Jordan qui est persuadé que cette gourde de Stacy ne verra pas la cicatrice. Alors ouais, le sang jaillit à chaque coup de pétoire et sur quelques scènes, j'ai trouvé ça un poil abusé.

Autre point noir : le scénario. Malgré un Golden Globe pour l'écriture, je trouve l'histoire limitée. En effet, comme souvent dans de nombreux films, les motivations des personnages sont pas vraiment convaincantes. Je pense particulièrement au Docteur Shultz qui accepte d'aider Django pour retrouver sa femme sans contrepartie. Pour un mec qui bute des brigands contre des primes sans émotion aucune, c'est franchement moyen. Il n'a proprement rien à gagner dans l'affaire et il y va au prix d'une belle somme et bien plus. De même, l'escroquerie de Django et Shultz visant à récupérer la femme du premier au riche planteur Monsieur Candie tourne au drame (je spoile pas vraiment car il faut bien qu'il se passe quelque chose hein) à cause d'un événement tellement insignifiant qu'il est révélateur de que dalle et pourtant, ça foire. T'as juste envie de dire : "HEIN ?! mais comment... non... mais c'est ridicule." Enfin, je trouve que ça ressemble pas du tout à QT des erreurs pareilles. Dans tous ses autres films, les vilains découvrent le pot aux roses de façon ingénieuse (cf le coup des 3 doigts dans Inglourious Basterds). Sinon, il me reste quelques réserves sur la musique. Parfois énorme, parfois molle, les choix musicaux sont à débattre. 

Après avoir bien craché sur Django Unchained, je me dois d'expliquer maintenant pourquoi j'ai passé un très bon moment. Malgré ses défauts, ce film est une belle barre de trip car les aventures des deux chasseurs de prime sont passionnantes dans une Amérique désolée et sans pitié. QT donne, sans réinventer le genre, un bon coup de pied au western pour l'envoyer dans la modernité. Il fait peu de références à ces aïeux tout en montrant un grand respect pour les histoires de cowboy. Sa maîtrise technique n'est plus à démontrer, on reste bluffé par sa patte qui est unique et qui sublime le métrage par quelques plans tout simplement énormes. 
Enfin, le grand point fort de Django Unchained est l'adage des acteurs. Jamie Foxx convainc comme jamais dans cet ancien esclave capable de tout pour récupérer sa femme. On ressent très bien l'évolution du personnage dans le regard que lui donne l'acteur, d'abord un peu hébété puis de plus en plus sur de lui jusqu'à devenir cette gâchette folle. Christoph Waltz prouve une nouvelle fois qu'il est un acteur formidable et il a vraiment pas volé son Golden Globe du Meilleur second rôle. Samuel L. Jackson parvient lui à nous péter les abdos de rire dans le rôle du majordome black pro-esclavage Stephen, un type bien barré à la gueule digne d'un toon de Tex Avery. Et bien sur, j'acclame le très grand Leonardo DiCaprio qui est époustouflant dans son premier rôle de méchant, Monsieur Candie, un planteur fantasque et colérique. Je reverrai le film rien que pour la scène du repas avec ces quatre acteurs qui, par leur talent, éclipsent totalement les autres membres du casting même la petit Kerry Washington toute en beauté qui lutte tant bien que mal pour qu'on se rappelle d'elle. Mais il n'y a de place pour personnes d'autres. 

Un peu comme Quentin Tarantino qui survole dans sa catégorie, qu'il a lui même inventé mais où il ne brille pas complètement par ce Django Unchained





Alors tu vois, c'est une prime sur Kad Merad. Visiblement, d'aucuns ne veulent plus le voir au cinéma.

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27 commentaires:

  1. Le plus grand film de Tarantino ça ? j'espère que tu plaisantes Arthur ...

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    1. Oh que non mon bon monsieur. Ce film c'est toute la synthèse de son cinéma.

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  2. Je pense aussi qu'il s'agit probablement de son meilleur film, même si Pulp Fiction reste inégalé mais les deux films sont trop différents pour les comparer. Du pur Tarantino, jouissif et engagé à la fois (quel pied de voir des négriers exploser sous l'effet des balles !).

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  3. J'ai bien aimé, moins que ce que j'en espérais enfin cela reste du grand cinéma, d'ailleurs on sent de la maturité dans ce film, une volonté d'assumé cette histoire et de s'approprier le western a sa manière, une réussite indéniable

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  4. Moins de citation visuelle (ouf!) mais au niveau de la musique qu'est-ce que c'est pénible d'entendre du rap dans un western. C'est un peu comme du Elvis dans un film sur le Moyen Age! Pour le reste, le sang gicle dans des quantités parfois invraissemblables et la scène du dîner tourne très vite en rond. Heureusement qu'on s'amuse et que les acteurs sont très bons.

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    1. Je trouve au contraire que l'utilisation du rap est parfaite et rythme la scène comme aucune autre musique n'aurait pu le faire.
      Cela s'imbrique parfaitement dans l'histoire ! Et la chanson utilisée (Rick Ross - 100 black Coffins) s'y prête parfaitement

      Voici les paroles :
      http://rapgenius.com/Rick-ross-100-black-coffins-lyrics

      Selon moi, Tarantino renouvelle le genre du western tout simplement et la musique y contribue grandement

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    2. Perso ça n'a rien à foutre là et il serait temps que Tarantino se mette à faire une vraie bande originale, parce que ça devient pénible le jukebox. Si tu veux de Morricone tu l'appelle bordel! Une sorte de lâcheté assez pénible. Perso le dernier bon western que j'ai vu c'est Rango, sans compter L'assassinat de Jesse James.

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    3. Même si j'ai apprécié la musique de Django Unchained, je suis d'accord avec Borat, il est temps de faire une putain de BO ! Surtout que QT en a les moyens et les goûts.

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    4. Ah merci! Non parce que quand je le dis chez Max, j'ai l'impression que c'est un scandale de dire que du rap dans un western, c'est improbable! Comme tu le dis, ce n'est pas comme si il n'avait pas le pognon pour faire une vraie BO signée Morricone qu'il cite ouvertement depuis Kill Bill 2.

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    5. Pour rebondir sur les B.O. de Tarantino, franchement, je trouve que c'est d'une honnêteté intellectuelle hallucinante de rapporter des œuvres pré-existante. Si c'est pour appeler un compositeur et de lui demander de refaire tel ou tel morceau, cela n'a aucun intérêt, autant prendre l'original.

      Cela dit, le rap ici ne fonctionne pas du tout (en tout cas pas chez moi).

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    6. Mr' H a tout bon pour moi, l'utilisation du rap est parfaite, tu t'attends à te prendre trois notes d'harmonica dans les esgourdes et tu te prends un bon morceau de rap dans les dents. C'est parce que le rap est improbable dans un western que ça s'insère parfaitement avec Tarantino.

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    7. Pour répondre à ton com 2flics, ce que je dis n'est justement pas que Tarantino appelle un compositeur comme Morricone pour se singer, mais de faire une vraie compo digne de ce nom.

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    8. La musique d'un film, c'est évidemment une question de goût, mais ne ne peut enlever à Tarantino le mérite de désorienter le spectateur, au moment où on ne s'attend pas - mais alors pas du tout - à du rap. Et je vois aussi dans l'utilisation de ces morceaux une continuité avec le message anti-esclavagiste et le mouvement "Black is Beautiful", quand on se penche plus loin sur les paroles.

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    9. Pour moi Mr H' a tout bon également et Roxy aussi. C'est super gratifiant de voir un cinéaste qui fait du blockbuster (comprenez par là film à grand succès) mais qui reste maitre de son film (comprenez par là qui ne dépend pas des producteurs). Le jour où Tarantino rentrera dans la "norme", ne serait ce qu'avec la musique, son cinéma sera tronqué. Je soupçonne borat8 de ne pas aimer du tout le rap, ce qui se conçoit tout à fait.

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    10. morricone est cité dans le générique, il n'y a donc aucune lacheté ! et le rap dans le film est juste parfait, ca change et ca apporte quelque chose de neuf !

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  5. Il peut paraître énervant ce Tarantino, mais sa cinéphilie le sauve. Ce façon très orgueilleuse qu'ila de vouloir réinventer chaque passage obligé pour qu'on ait l'impression de le voir pour la première fois. Le western, genre éculé s'il en est, est le matériau idéal pour ce genre de challenge. Quant à la musique, elle ne me choque décidément pas (elle dépasse de très haut les BO brachouilles qui servent à donner un semblant de cachet à des films qui souvent superficiels). Je me doute que notre ami Borat ne doit pas être un grand fan du film "chevalier" où on voyait Heath Ledger jouter au son du "we are the Champions" de Queen.

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  6. Borat j'ai envie de te dire que si tu veux voir un film classique, avec une bonne bo classique, tu va pas voir un Tarantino. C'est une de ses marque de fabrique, tu peux pas lui enlever ça.

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    1. Bah justement une marque de fabrique de merde désolé. Au début ça allait mais franchement ça devient lourd! Et je confirme Prince pour We will rock you de Chevalier. Franchement improbable même si ça peut paraître fun.

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  7. De merde ?... Tu peux être désolé. Moi je trouve pas ça lourd du tout, je trouve ça même plutôt jouissif !

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    1. Oui pour moi c'est de la vraie faignéantise. Le mec fait son jukebox, sort le chéquier pour ne pas avoir de problème avec les droits et les mets dans son film comme si de rien n'était. C'est facile de sortir du Johnny Cash ou du James Brown. Comme je le disais plus haut, ça fait des années qu'il utilise du Morricone tout en ne sachant la plupart du temps pas l'utiliser (à l'image d'Inglourious Basterds), mais ne lui a pas demandé pour son premier western d'y participer. C'est un peu louche pour un mec qui a quand même 90 millions de $ de budget non?

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  8. Écoute mauvaise langue, je suis fan, pas toi. Le débat est donc condamné à tourner en rond puisque nous ne seront jamais d'accord...

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    1. Merci pour la mauvaise langue!lol En sachant que je n'ai jamais été contre sortir le jukebox, juste d'utiliser les bonnes chansons au bon endroit. La preuve j'aime bien la BO des Infiltrès qui tape dès le début avec Gimme Shelter et quand on fait l'amour, on écoute du Pink Floyd. Or, pour moi ce rap n'a rien à foutre là. Et en sachant que je n'ai pas détesté cette BO dans l'ensemble comme avec l'apparition de Django au début, franchement bien intégré.

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  9. Un très bon film, un peu long, mais vraiment jouissif. Quant à la B.O., j'ai fait part de mon point de vue plus haut :)

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  10. Hihi ^^ nan mais je vois ce que tu veux dire et je comprend que ça puisse déranger certains. Moi j'ai adoré.

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  11. Moins élogieuse que d'une étoile Kaal :D ce n'est rien

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    1. C'est surtout dans le texte que c'est moins élogieux. La note est accessoire

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  12. Enfin Tarantino signe son premier western, et on pourrait penser qu'il aurait été pensé depuis longtemp, et pourtant il manque quelque chose, l'humour manque de grandeur par rapport aux magnifiques dialogues de ces autres films, on a du sang pour du sang, trop exagéré qui ne ressemblent pas aux mexican standoff bien ficelé qui font la marque de fabrique de Tarantino

    Le scénario ne manque pas d'idée mais parait par moment vide, il mèle humour et malaise, si bien qu'on ne sait plus ce qu'il faut penser.
    L'originalité qui fait de ce western un western pas comme les autres, est presque trop original pour un western et répond a des normes actuelles qui en font effectivement un film tout publique.

    Les personnages sont sauvés par le jeu parfait des acteurs comme C. Waltz qui joue un shultz peu travailler (il aime l'argent, n'aime pas l'esclavage, point)

    Tarantino a voulu ajouter une touche moderne, au genre western, alors qu'il ajoute du western dans les film plus contemporain et la je me dit "WTF tu veut du western ou pas?"
    Pour cet enième version de Django, ce film n'a a part le nom et le sang rien en commun avec le film originel, dommage j'aurais bien aimé une petite scene a la Gatling quand meme ^^

    Un film agréable a regarder mais une déception quand meme et je dirais meme au risque de me faire lyncher par Oldspider, le moins Tarantinesque des Tarantino.

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