Avec : Martin Freeman, Ian McKellen, Richard Armitage...
Nationalité : Americano-néo-zélandaise
Genre : Rendez-vous en terrain connu
Durée : 2h45
Bilbon
Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor,
conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la
route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains
dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin
Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils
devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des
Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu'ils se
destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres désertiques du Mont
Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où
Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie :
Gollum.
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…
Critique de Kaal :
Enfin,
nous voilà de retour en Terre du Milieu ! Quel plaisir de rentrer chez
soi : les trous de hobbit, les nains grincheux, les terrines et pâtés,
les orques poisseux... Prenez votre pipe, votre chope de bière et suivez
Peter Jackson dans un nouveau voyage.
Adapté du premier roman de sa Majesté J.R.R. Tolkien, The Hobbit est très proche du bouquin qui, ne l'oublions pas, est une suite d'aventures féeriques vécues par Bilbon Sacquet avec une bande de nains et d'un magicien qui veulent tuer un dragon qui leur a volé leur royaume. C'est une histoire plus enfantine que Le Seigneur des Anneaux puisque ces contes étaient destinés aux petits-enfants de Tolkien. Alors évidemment, l'ambiance est bien différente de la précédente trilogie même si bien sur, on retrouve des points communs (logique, puisque c'est le même réalisateur).
Adapté du premier roman de sa Majesté J.R.R. Tolkien, The Hobbit est très proche du bouquin qui, ne l'oublions pas, est une suite d'aventures féeriques vécues par Bilbon Sacquet avec une bande de nains et d'un magicien qui veulent tuer un dragon qui leur a volé leur royaume. C'est une histoire plus enfantine que Le Seigneur des Anneaux puisque ces contes étaient destinés aux petits-enfants de Tolkien. Alors évidemment, l'ambiance est bien différente de la précédente trilogie même si bien sur, on retrouve des points communs (logique, puisque c'est le même réalisateur).
The Hobbit
est donc moins sombre et sérieux que ses prédécesseurs et je trouve ce
côté léger assumé par Peter Jackson mais encore plus par les acteurs qui
font un travail exceptionnel, Martin Freeman en tête qui est tout
simplement parfait dans le rôle du hobbit. Il a tout compris de Bilbo,
un personnage coincé de base mais qui doit se débrider par la force des
choses. Son jeu de regard est excellent, vraiment. Les autres
protagonistes ne sont pas en reste et crèvent l'écran eux aussi. Les
Nains sont aussi farfelus que l'idée que je m'en étais faite à la
lecture du roman. Ian McKellen est fidèle à lui même et reprend
formidablement bien son bâton et sa pipe. Je suis cependant resté un peu
sceptique sur les présences -fugaces heureusement- de Frodon ou encore
de Galadriel, alors qu'entendre de nouveau la voix caverneuse de
Christopher Lee est toujours un grand moment.
Dans ce premier opus (oui, la suite arrive en décembre 2013), le terme le plus adapté est : épique. On ne s'ennuie pas, les aventures s'enchainent à un rythme effréné et le réalisateur prend le temps de développer de nombreuses intrigues qui connaîtront leur aboutissement dans les prochains films. Certaines scènes sont grandioses comme le festin des Trolls de pierre, le combat des Géants de pierre, la jeu de devinettes de Bilbo et Gollum (ma préférée) et l'histoire des Nains d'Erebor et de la Moria. Bref, vous l'aurez compris, avec The Hobbit, on voyage de nouveau en Terre de Milieu sur fond de carte postale de la Nouvelle-Zélande. Il faut bien garder à l'esprit que ce film est une introduction, mais quelle intro ! J'ai été transporté et enchanté. Vivement la suite !
P.S : pas besoin d'aller le voir en 3D, les images sont magnifiques sans.
Dans ce premier opus (oui, la suite arrive en décembre 2013), le terme le plus adapté est : épique. On ne s'ennuie pas, les aventures s'enchainent à un rythme effréné et le réalisateur prend le temps de développer de nombreuses intrigues qui connaîtront leur aboutissement dans les prochains films. Certaines scènes sont grandioses comme le festin des Trolls de pierre, le combat des Géants de pierre, la jeu de devinettes de Bilbo et Gollum (ma préférée) et l'histoire des Nains d'Erebor et de la Moria. Bref, vous l'aurez compris, avec The Hobbit, on voyage de nouveau en Terre de Milieu sur fond de carte postale de la Nouvelle-Zélande. Il faut bien garder à l'esprit que ce film est une introduction, mais quelle intro ! J'ai été transporté et enchanté. Vivement la suite !
P.S : pas besoin d'aller le voir en 3D, les images sont magnifiques sans.
La touche française du film : Gérard Depardieu. |
Critique de Roxy :
Il
y a fort fort longtemps, au fin fond de la terre de l'Ouest, dans la
comté de Bruz, une jeune érudit répondant au nom de Roxy La Bonnasse
entrepris une quête des plus redoutable : Lire The Hobbit,
de Tolkien. Point de dragon ne la pourfandire, point d'orques non plus
mais une malédiction connue sous le nom de "Flemme" la frappa de pleins
fouet un soir de demi-lune à l'aube de sa quête. Ainsi l'aventure fut
abandonnée et le roman oublié sur le rebord d'une étagère poussiéreuse.
Ce que Roxy ignorait à ce moment là, c'est qu'une invention
extraordinaire qui vit le jour bien des années auparavant grace aux
frères Lumières Auguste et Louis de la comté de Besançon allait
permettre à Peter le Grand de réaliser une oeuvre permettant à son tour à
Roxy de terminer sa quête quelques années plus tard (en trichant
certes). Nous sommes en décembre 2012 et Roxy est...
Au
premier rang...super. Même avec les places achetées en avance et en
arrivant une demi heure plus tôt, on a quand même réussi à avoir des
places de merde pour The Hobbit. Rassurez vous, cela n'affecta en rien mon jugement car j'ai été captivée.
Pour commencer, les paysages sont, comme pour le Seigneur de Anneaux,
d'une incroyable beauté, ce qui nous confirme que pour un film de ce
type la Nouvelle-Zélande c'est parfait, si tu es fan de randonnée c'est
très bien aussi, mais à mon avis, si tu fais ni l'un ni l'autre tu doit
rapidement te faire chier. Dans ces plaines verdoyantes, ces forêts
inquiétantes ou ces montagnes imposantes, ça grogne, ça hurle, ça se bat
à l'épée ou à mains nues, bref ça pue la testostérone et le nain mal
lavé. C'est vivant, dynamique et composé d'un petit mélange très bien
dosé d'humour et de sérieux. Les personnages sont tous excellents,
notamment Bilbon qui est vraiment un personnage attachant, grâce à
l'excellent Martin Freeman. Cependant j'ai quelque chose à dire : Alors
oui Gandalf le Blanc à la classe, Gandalf qui se bat à aussi la classe,
mais honnêtement Gandalf le Gris a juste l'air d'un clodo qui murmure à
l'oreille des papillons. Quand aux elfes, ils ont l'air défoncés H24,
particulièrement la miss Galadriel (Cate Blanchett) que je soupçonne
d'avoir également l'interieur de la cloison nasale en blanc si vous
voyez ce que je veux dire...
Malgré
quelques longueurs inévitables, l'action est là, les effets spéciaux en
foutent pleins les mirettes. La scène du combat des géants de pierres
est assez spectaculaire mais le plus bluffant selon moi reste Gollum
(toute la scène Bilbon/Gollum est géniale). Le travail et l'amélioration
des techniques pour ce personnage sont tout simplement
impressionnantes, les détails de la peau, les émotions, tout a été
retravaillé pour une quasi perfection ! Du très bon travail aussi pour
Azog, en plus ces cicatrices lui donnent un petit air de Joaquin
Phoenix. Si je devais vraiment faire ma pointilleuse je dirais que la
qualité des effets spéciaux est parfois inégale et que le maquillage est
parfois too much pour les rajeunissements par exemple mais surtout pour
cet affreux téton d'orque qui me hantera pendant plusieurs décennies.
Si
j'ai relevé quelques petites défaillances scénaristiques, je n'en
parlerais point car mon jugement est altéré par le fait que j'admet
avoir cru que je parlais courament l'elfique ou l'orque et donc m'être
concentré sur la qualité des effets spéciaux ou des costumes pendant que
ces derniers discutaillaient. Du coup quelques moments de vide pour moi
et surtout le sentiment d'être parfois sacrément stupide. En revanche
je peux tout de même exprimer mon désarroi lors de la toute première
partie du film que je qualifierais de brouillonne. Gandalf croise Bilbon
: "Tiens salut, ça te dirait une aventure ?" Proposition sexuelle
maladroitement posée ? Que nenni. La question de pourquoi Bilbon plutôt
qu'un autre est à peine survolée et cela manque de profondeur. Il y a
également quelques clichés comme les phrases toute faites du genre "une
clé ? c'est qu'il doit y avoir une porte" dixit le nain le plus malin
de la bande. Ou ces images au ralenti du guerrier mécontent dont la rage
est éclairée par les flammes d'un brasier menaçant tandis qu'il se
dirige vers son ennemi d'un pas assuré sur fond de musique moyen-âgeuse
genre Era. Ou encore le méchant qui se contente de réponde un
"BRAAAAARGRGHRHAAAAHR" pour montrer qu'il est en colère de ne pas avoir
eu ce qu'il désirait. Classique.
Dans
l'ensemble, c'est grandiose, une aventure comme on aime en voir au
cinéma, plus d'humour, des combats épiques, des effets spéciaux
incroyables mais malgré tout un manque de je ne sais quoi, de réelle
nouveauté peu être. Tout de même, vivement la suite !
PS : Les
doublures françaises ne sont pas dégueulasses, mais lorsque les nains
se mettent à chanter, ça fait saigner les oreilles. Si vous voulez c'est
un peu comme si Francis Cabrel reprenait du Bob Dylan en traduisant les
textes des chansons ! Ah ah ! Ce serait horrible ! Comment ça il l'a
vraiment fait ?
Devinette suivante : "Qu'est-ce qui est petit et marron ?" |
Critique d'oldspider
Après
neuf ans d'attente, nous voici enfin de retour dans la Terre du Milieu
pour notre plus grand bonheur. Toujours adapté de l'oeuvre de Tolkien et
toujours réalisé par Peter Jackson, le film suit les péripéties de
Bilbon Sacquet quand il était encore un beau gosse (comprenez quand il
était jeune). L'histoire est on ne peut plus simple. En gros, Bilbon vit
des jours paisibles dans le Comté. Un jour, des nains débarquent chez
lui pour l'enrôler dans leur bande afin d'accomplir leur quête visant à
récupérer leur terre. Gandalf est également de la partie.
Pour commencer, on peut dire que le film, qui est le premier d'un trilogie, est assez différent de la trilogie du Seigneur des Anneaux.
La différence se fait sentir sur … disons le ton du film qui est moins
sombre ou mature. Mais cette différence n'est absolument pas
pénalisante.
Au
niveau du rythme c'est pratiquement du tout bon. Le film met un peu de
temps à commencer et le début est un peu lent mais cela donne le temps
de s'adapter à la superbe qualité de l'image (j'y reviendrai) et aux
différents personnages, notamment les nains qui ont des noms
imprononçables. Après un début un peu lent, l'aventure commence et nous
retrouvons des personnages connus de tous comme Elronde, Gollum ou bien
Saroumane. Par la suite, le rythme est assez effréné.
Le
scénario est une nouvelle fois bien maîtrisé par Peter Jackson. Le
cinéaste montre qu'il connaît parfaitement bien l'univers décrit et
écrit par Tolkien. Je le disais auparavant, le ton est différent de la
première trilogie ; cela est également du au fait que l'humour est très
présent dans le film. L'acteur qui joue Bilbon (Martin Freeman) n'y est
pas du tout étranger. Je pense aussi à la confrontation entre Bilbon et
Gollum qui se joue à coups … d'énigmes ! Je n'en dis pas plus mais cette
scène est assez burlesque.
Passons
à la réalisation maintenant. Cette dernière est de très bonne facture.
C'est bien simple, presque toutes les scènes sont épiques, surtout vers
la fin. Je pense par exemple à la scène de poursuite dans la mine entre
les nains et les gobelins qui est à couper le souffle. Sans mentir, il y
avait longtemps que je n'avais pas été autant estomaqué, époustouflé
par une scène de film au cinéma. La caméra qui se déplace à travers la
mine, les personnages qui courent et se battent, le tout dans un rythme
effréné … tout ça est de très bonne facture. Surtout que cette scène est
en diptyque avec celle qui montre la rencontre entre Bilbon et Gollum.
Terminons
avec les effets spéciaux. Ils sont, comment dire, un régal pour les
yeux. La qualité de l'image est absolument parfaite. Peter Jackson est
vraiment au point sur la technologie d'aujourd'hui. Voir une telle
qualité au cinéma ça fait vraiment plaisir surtout que cette qualité
n'est pas du tout gratuite car elle sert vraiment le film qui a besoin
de cela. Et puis, désolé Kaal,
mais je pense que le film doit être vu en 3D. Je pense que le film a
été conçu pour être vu uniquement en 3D comme pour Avatar mais qu'il
passe en numérique pour que plus de monde puisse le voir. La 3D est
totalement ahurissante, c'est avec des films comme lui que l'on se rend
compte qu'elle apporte vraiment quelque chose à l'image. Le tout est de
savoir l'utiliser correctement.
Bon vous l'avez compris je pense, ce premier opus du Hobbit
est une réussite totale. Les scènes sont épiques, les personnages sont
charismatiques et Bilbon est très cool. J'ai hâte de suivre l'évolution
du poids de l'anneau qui est maintenant en sa possession et aussi de
voir la scène finale (sûrement présente dans le dernier film de la
trilogie) du combat final entre notre groupe et le dragon qui promet
d'être dantesque. En clair, si vous avez aimez la trilogie du Seigneur
des Anneaux, il n'y aucune raison de ne pas apprécier ce nouveau film.
Allez-y prestement !
Fait étonnant: Cate Blanchett aurait pu jouer Gandalf mais sa barbe lui a fait défaut. |
Critique de Raino :
J'arrive un peu après la bataille mais mieux vaut tard que jamais ! Je vais donc faire court. J'ai entendu beaucoup de chose sur ce film, du très bon, comme sur ce blog, et du très mauvais, comme pas sur ce blog. J'avais pas vraiment envie d'aller voir ce Seigneur des anneaux 4, pardon, ce Seigneur des anneaux -1, sans trop savoir pourquoi. J'aime beaucoup la trilogie ciné, j'aime encore plus les bouquins mais là non. Pas envie.
Mais bon, mes petits frères ont réussi à motiver, et c'est parti pour 2h45 ! De l'ennui, du plaisir, puis de l'ennui, re du plaisir, puis re de l'ennui, puis la fin du film avec le soupçon de suspens obligatoire pour annoncer la partie 2. Voila comment je pourrais décrire mon visionnage du film.
Il n'y a rien à redire sur la réalisation, les acteurs, les décors, tout ça, tout ça. C'est très propre. Mais c'est pas le tout, il faut que ça soit intéressant. Et le hic c'est que c'est (trop) souvent plan-plan, gnan-gnan, bla-bla, morale à la con, etc. Et ça c'est chiant. Les scènes plus vivantes sont bien faites et très sympas, le reste c'est plus complexe. C'est aussi le problème de vouloir faire 3 films de 2h45 d'un bouquin qui est lui-même moins épais qu'un seul tome du seigneur des anneaux. Donc pour résumer, ce film est parfois très bien, parfois très chiant.
Yeah, des nouveaux-venus chez Blogspot !!! ;) Très classe votre nouveau blog. À bientôt !
RépondreSupprimerle canalblog commençait à se faire vieux et Blogspot offre plus de possibilités, tu ne me contrediras pas ^^
SupprimerEn effet :)
SupprimerC'est vachement classe, un joli renouveau ! Je change le lien sur le blog de moi-même et du fourbe Haydenncia de suite ;)
RépondreSupprimerMerci gros ! j'ai mis ton lien aussi !
SupprimerJuste énorme !
RépondreSupprimerHâte de voir la suite !!!!
Bises
J'ai bien envie de voir la suite aussi ! Un an c'est bien long... ^^
SupprimerUn poil long, mais sinon un pur bonheur que de refouler la comté et c'est trou de hobbit si confortable, merci Peter :D
RépondreSupprimerPour avoir lu le bouquin, je suis bien content qu'il soit long, car dans le roman les aventures sont expédiées. C'est presque frustrant ^^
SupprimerLe début d'une aventure riche en péripéties et qui s'annonce aussi magnifique visuellement que Le seigneur, bien que le ton soit très différent. Excellents acteurs; la 3D 48 images/secondes est redoutable et donne aux batailles un effet live monumental et les touches d'humour sont magiques. Vivement La désolation de Smaug.
RépondreSupprimerJe l'ai raté en 48 images/sec, je suis dégouté... :/
SupprimerVivement la suite, tu l'as dit !
C'est une nouvelle forme de live. Pour les batailles, on a vraiment l'impression qu'elle se déroule en temps réel.
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