Avec Taylor Kitsch, Aaron Taylor-Johnson, Blake Lively...
Nationalité : Américaine
Genre : Stoooone, le monde est Stone.
Durée : 2h10
Interdit aux moins de 12 ans
Laguna Beach, Californie : Ben, botaniste bohème, Chon, ancien Navy Seal, et la belle O partagent tout. Ben et Chon sont à la tête d’un business florissant. Les graines ramenées par Chon de ses missions et le génie de Ben ont donné naissance au meilleur cannabis qui soit. Même s’il est officiellement produit pour des raisons thérapeutiques, ils en dealent partout avec la complicité de Dennis, un agent des stups.
Leur affaire marche tellement bien qu’elle attire l’attention du cartel mexicain de Baja, dirigé d’une main de fer par Elena. Face à leur proposition d’"association", Chon est partisan de résister par la force, mais Ben préfère tout abandonner. Pour les contraindre à coopérer, le cartel kidnappe O. Elena a eu raison d’utiliser les liens très forts du trio, mais elle a aussi sous-estimé leur capacité à réagir… C’est le début d’une guerre entre l’organisation du crime dont le bras armé, Lado, ne fait aucun cadeau et le trio. Qu’il s’agisse de pouvoir, d’innocence, ou de la vie de ceux qu’ils aiment, tout le monde a quelque chose à perdre.
Leur affaire marche tellement bien qu’elle attire l’attention du cartel mexicain de Baja, dirigé d’une main de fer par Elena. Face à leur proposition d’"association", Chon est partisan de résister par la force, mais Ben préfère tout abandonner. Pour les contraindre à coopérer, le cartel kidnappe O. Elena a eu raison d’utiliser les liens très forts du trio, mais elle a aussi sous-estimé leur capacité à réagir… C’est le début d’une guerre entre l’organisation du crime dont le bras armé, Lado, ne fait aucun cadeau et le trio. Qu’il s’agisse de pouvoir, d’innocence, ou de la vie de ceux qu’ils aiment, tout le monde a quelque chose à perdre.
Critique de Roxy :
Je
vais faire ma nénette romantique mais j'ai trouvé que si on oublie la
violence, la drogue, les kidnappings et les magouilles, Savages
c'est une belle histoire d'amour. Moderne comme histoire, ici on brise
les tabous et on fait couple à trois. Après Woody Allen c'est à Oliver
Stone (ah ah ! Stone qui fait un film sur la beuh ! Allez, c'est drôle
!) de tater le sujet. O, (Olivia je crois mais on dit O parce que
appeler les gens uniquement par la première lettre de leur prénom c'est
la mode et c'est trop cool parce que c'est trop comme dans Gossip Girl !
Hey mais putain c'est dingue, O c'est aussi S... tout s'explique ! )
... bref, O, est amoureuse de Chon (plus tard je ferai une blague sur ce
prénom) et de Ben (pour ce prénom, ça m'étonnerai). Et ça tombe bien
car eux aussi sont amoureux d'elle. Il vivent une parfaite idylle tout
en vivant du trafic de the best Marie-Jeanne ever. Bon je ne vais pas
raconter l'histoire, mais los mexicanos sont pas contents de ne pas
pouvoir s'associer à leur petite affaire alors ils kidnappent O. Mais
l'amour est plus fort que tout alors ni Chon (c'était ça ma blague, mais
elle marche qu'à l'écrit parce que à l'oral ça se prononce "Tchonne")
ni Ben ne va se laisser voler sa/leur nana comme ça !
Oliver Stone filme un peu cette histoire à la façon de Tony Scott pour Domino.
Des flash, des images, des couleurs vives et chaudes, il "décore" le
film tout du long. Un casting surprenant mais dans l'ensemble assez
jouissif, avec un petit plus pour Benicio et Selma, vraiment très justes
et pas too much. Pas mal de violence et de scènes bien sanglantes mais
c'est assez équilibré avec le reste du film. Le stress est là,
l'histoire est vraiment prenante on lui reprochera cependant quelques
petites longueurs. Oliver ne tombe pas dans les clichés, pas de dualité
entre Chon et Ben. Au contraire c'est une association qui fonctionne
parfaitement du début à la fin grâce à leurs différentes personnalités
qui sont plus que bien développées. Des dialogues aiguisés avec parfois
une touche de Coen ou de Tarantino ( la scène Benicio/Travolta
notement)
Sexy, violent, prenant, une super bande son, Savages
n'est pas un grand film, mais c'est un très bon film, devant lequel on
ne s'ennuie pas. Maintenant ce que je repproche vraiment à Oliver Stone
c'est de ne pas en avoir réellement fait "son" film. J'ai eu cette
impression de déjà vu, comme un style emprunté. (Même l'affiche il l'a
copié sur Babel !) Mais après tout, c'est peu être mieux comme ça... personne n'a oublié Alexandre Oliver, personne.
Roméo et Juliette... et Roméo |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire